Aux portes de Fao (Bicolline) Les voyageurs arrivèrent la veille au manoir portuaire de Fao. Comme une ombre dans la nuit, le meurtrier frappa sans relâche. À l’aube, tous apprirent que le juge Armley, sa femme et ses deux gardes, avaient été assassinés. L’homme de loi avait été convoqué pour présider l’élection de Mokafe. Qui est le coupable? Pour sûr, il s’y trouve encore, puisque les autorités ont empêché toutes les personnes présentes de sortir. Cette tragédie vient miner l’élection imminente et avant de poursuivre, le bâtonnier exige qu’une enquête soit faite et réclame la mort du ou des coupables. Source: Archives conservées par Mgr Conrade du Saint-Sulpice du Saint-Ordre des Templiers.
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