Approuvé par son Altesse Sérénissime Karl Von Shlaffenmark 1er
Gloire à Son Altesse Sérénissime!
Province de Sombrahl

Cité des Sables
Grand Atlas

 
Bâtiments: 53

 
Garnisons: 92


Seigneur Sebbal de Sombrahl


Carte de la province de Sombrahl

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On dit de l'Émir de Sombrahl qu'il est sans doute le 2e homme le plus riche des Terres de l'Est (après le Sultan, bien entendu). L'émir de Sombrahl a fait sa richesse en se spécialisant dans un des commerces des plus lucratifs qui soient, le commerce de la vie humaine. Le second motif de la richesse de l'Émir de Sombrahl est son port, situé sur la côte ouest donnant sur l'océan. L'Émir de Sombrahl est un homme très influent du Pays des Sables, et plusieurs murmurent que si ce n'était qu'il en est le cousin, il s'intéresserait au trône du Sultan.

Le port de Sombrahl

Le port de Sombrahl constitue l'unique véritable grand port du Pays des Sables à cause des côtes trop rocailleuses de celui-ci. Comme le Pays des Sables est pratiquement coupé en deux par le désert impraticable d'Al-Saour-Agif, tout le commerce de l'est du Pays des Sables, qu'il provienne de la cité de Jabba Hal ou de la Mer Sombre, doit transiter par la ville de Sombrahl et par son port.

De plus, puisque c'est le seul port majeur ouvert sur l'ouest, c'est par là que transigent tous les produits provenant des Terres Extérieures. Ainsi, l'émir de Sombrahl s'adonne au commerce du commerce. Profitant de son port et de son accès aisé aux Terres Extérieures (et de la légalité de la chose en ce pays), le port de Sombrahl est une plaque tournante du commerce d'esclaves dans le monde de Bicolline.

Malgré le commerce peu reluisant qui s'y fait, le port de Sombrahl est un endroit merveilleux où des aventuriers de partout par le monde viennent raconter leurs aventures et dépenser leurs trésors. En aucun autre lieu dans les mondes connus pourrez vous trouver des hommes ayant voyagé en des endroits inexplorés comme en ce lieu. On dit que tous les plaisirs sont permis au port de Sombrahl. Et il semble que l'on puisse tous les y trouver pour autant qu'on en a les moyens.

Source: Archives de Bicolline